LAMENTABLE !!!
Publié le 3 septembre 2025
Nos deux organisations syndicales majoritaires ont signé l’accord sur la Rupture Conventionnelle Individuelle Accompagnée (RCIA) et elles en sont fières…
Le SNUP pense que ce n’est pas un bon accord dans le contexte économique actuel. En effet, les sommes astronomiques distribuées aux quelques privilégiés qui vont quitter l’Etablissement public ne vont pas profiter à ceux qui restent en poste. Si vous pensez le contraire, le SNUP pense que vous rêvez ou que vous croyez encore au Père Noël…
Grâce à cet accord, la Caisse des dépôts encourage les personnels à hauts revenus proche des 61 ans à se constituer un beau cadeau de départ à la retraite.
Vous en doutez ?
Et bien demandez aux organisations syndicales majoritaires qui assistent aux réunions de suivi de vous communiquer les statistiques, vous seriez certainement surpris !
Dans un contexte de récession et de détérioration de nos acquis, le SNUP se demande pourquoi ce type d’accord obtient une majorité ?
Comme notre directeur général, ces organisations syndicales doivent avoir des amis qui profitent de ce type d’accord au détriment de la majorité silencieuse qui ne bénéficie de presque plus rien… Et qui fait face à des conditions de travail de plus en plus dégradées. Pour preuve, lisez le compte rendu sur le stress dans l’Etablissement public : le niveau ne cesse d’augmenter d’année en année.
Et puis, regardez vos augmentations annuelles au regard du travail fourni, regardez votre montant de PVO qui s’éloigne de plus en plus du 100 %, regardez vos difficultés à faire des mobilités et à accéder aux promotions…
C’est de plus en plus difficile d’obtenir une gratification dans cette maison… Alors que les résultats n’ont jamais été aussi bons (5,1 milliards d’euros).
A qui cela profite-t-il ?
Au directeur général, à ses amis… Et à ceux qui partent en RCIA.
Et pendant ce temps-là, la négociation sur l’accord cadre continue. Et devinez ce que l’on obtient : rien du tout, que dalle, nada…
La DRH ne cède rien, elle fait durer les réunions pour nous faire croire qu’elle est dans le dialogue. Mais le SNUP n’est pas dupe. C’est uniquement pour nous endormir et nous indiquer, à la fin, qu’elle a consacré tout le temps nécessaire à la rédaction d’un bon accord. Même les organisations syndicales majoritaires ne sont pas contentes de l’avancée de la négociation.
Mais au bout du bout, comme d’habitude, la DRH fera un cadeau à son organisation syndicale favorite pour obtenir une signature, et une autre suivra au motif que si on ne signe pas on n’a rien…
Et oui chers collègues, ouvrez les yeux, le dialogue social s’appauvrit d’année en année à la Caisse des dépôts… Mais il est vrai que l’on a les syndicats que l’on mérite.
A vous de réfléchir et peut-être d’inverser la tendance aux prochaines élections.
Nos deux organisations syndicales majoritaires ont signé l’accord sur la Rupture Conventionnelle Individuelle Accompagnée (RCIA) et elles en sont fières…
Le SNUP pense que ce n’est pas un bon accord dans le contexte économique actuel. En effet, les sommes astronomiques distribuées aux quelques privilégiés qui vont quitter l’Etablissement public ne vont pas profiter à ceux qui restent en poste. Si vous pensez le contraire, le SNUP pense que vous rêvez ou que vous croyez encore au Père Noël…
Grâce à cet accord, la Caisse des dépôts encourage les personnels à hauts revenus proche des 61 ans à se constituer un beau cadeau de départ à la retraite.
Vous en doutez ?
Et bien demandez aux organisations syndicales majoritaires qui assistent aux réunions de suivi de vous communiquer les statistiques, vous seriez certainement surpris !
Dans un contexte de récession et de détérioration de nos acquis, le SNUP se demande pourquoi ce type d’accord obtient une majorité ?
Comme notre directeur général, ces organisations syndicales doivent avoir des amis qui profitent de ce type d’accord au détriment de la majorité silencieuse qui ne bénéficie de presque plus rien… Et qui fait face à des conditions de travail de plus en plus dégradées. Pour preuve, lisez le compte rendu sur le stress dans l’Etablissement public : le niveau ne cesse d’augmenter d’année en année.
Et puis, regardez vos augmentations annuelles au regard du travail fourni, regardez votre montant de PVO qui s’éloigne de plus en plus du 100 %, regardez vos difficultés à faire des mobilités et à accéder aux promotions…
C’est de plus en plus difficile d’obtenir une gratification dans cette maison… Alors que les résultats n’ont jamais été aussi bons (5,1 milliards d’euros).
A qui cela profite-t-il ?
Au directeur général, à ses amis… Et à ceux qui partent en RCIA.
Et pendant ce temps-là, la négociation sur l’accord cadre continue. Et devinez ce que l’on obtient : rien du tout, que dalle, nada…
La DRH ne cède rien, elle fait durer les réunions pour nous faire croire qu’elle est dans le dialogue. Mais le SNUP n’est pas dupe. C’est uniquement pour nous endormir et nous indiquer, à la fin, qu’elle a consacré tout le temps nécessaire à la rédaction d’un bon accord. Même les organisations syndicales majoritaires ne sont pas contentes de l’avancée de la négociation.
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Publié le 3 septembre 2025
Nos deux organisations syndicales majoritaires ont signé l’accord sur la Rupture Conventionnelle Individuelle Accompagnée (RCIA) et elles en sont fières…
Le SNUP pense que ce n’est pas un bon accord dans le contexte économique actuel. En effet, les sommes astronomiques distribuées aux quelques privilégiés qui vont quitter l’Etablissement public ne vont pas profiter à ceux qui restent en poste. Si vous pensez le contraire, le SNUP pense que vous rêvez ou que vous croyez encore au Père Noël…
Grâce à cet accord, la Caisse des dépôts encourage les personnels à hauts revenus proche des 61 ans à se constituer un beau cadeau de départ à la retraite.
Vous en doutez ?
Et bien demandez aux organisations syndicales majoritaires qui assistent aux réunions de suivi de vous communiquer les statistiques, vous seriez certainement surpris !
Dans un contexte de récession et de détérioration de nos acquis, le SNUP se demande pourquoi ce type d’accord obtient une majorité ?
Comme notre directeur général, ces organisations syndicales doivent avoir des amis qui profitent de ce type d’accord au détriment de la majorité silencieuse qui ne bénéficie de presque plus rien… Et qui fait face à des conditions de travail de plus en plus dégradées. Pour preuve, lisez le compte rendu sur le stress dans l’Etablissement public : le niveau ne cesse d’augmenter d’année en année.
Et puis, regardez vos augmentations annuelles au regard du travail fourni, regardez votre montant de PVO qui s’éloigne de plus en plus du 100 %, regardez vos difficultés à faire des mobilités et à accéder aux promotions…
C’est de plus en plus difficile d’obtenir une gratification dans cette maison… Alors que les résultats n’ont jamais été aussi bons (5,1 milliards d’euros).
A qui cela profite-t-il ?
Au directeur général, à ses amis… Et à ceux qui partent en RCIA.
Et pendant ce temps-là, la négociation sur l’accord cadre continue. Et devinez ce que l’on obtient : rien du tout, que dalle, nada…
La DRH ne cède rien, elle fait durer les réunions pour nous faire croire qu’elle est dans le dialogue. Mais le SNUP n’est pas dupe. C’est uniquement pour nous endormir et nous indiquer, à la fin, qu’elle a consacré tout le temps nécessaire à la rédaction d’un bon accord. Même les organisations syndicales majoritaires ne sont pas contentes de l’avancée de la négociation.
Mais au bout du bout, comme d’habitude, la DRH fera un cadeau à son organisation syndicale favorite pour obtenir une signature, et une autre suivra au motif que si on ne signe pas on n’a rien…
Et oui chers collègues, ouvrez les yeux, le dialogue social s’appauvrit d’année en année à la Caisse des dépôts… Mais il est vrai que l’on a les syndicats que l’on mérite.
A vous de réfléchir et peut-être d’inverser la tendance aux prochaines élections.
Nos deux organisations syndicales majoritaires ont signé l’accord sur la Rupture Conventionnelle Individuelle Accompagnée (RCIA) et elles en sont fières…
Le SNUP pense que ce n’est pas un bon accord dans le contexte économique actuel. En effet, les sommes astronomiques distribuées aux quelques privilégiés qui vont quitter l’Etablissement public ne vont pas profiter à ceux qui restent en poste. Si vous pensez le contraire, le SNUP pense que vous rêvez ou que vous croyez encore au Père Noël…
Grâce à cet accord, la Caisse des dépôts encourage les personnels à hauts revenus proche des 61 ans à se constituer un beau cadeau de départ à la retraite.
Vous en doutez ?
Et bien demandez aux organisations syndicales majoritaires qui assistent aux réunions de suivi de vous communiquer les statistiques, vous seriez certainement surpris !
Dans un contexte de récession et de détérioration de nos acquis, le SNUP se demande pourquoi ce type d’accord obtient une majorité ?
Comme notre directeur général, ces organisations syndicales doivent avoir des amis qui profitent de ce type d’accord au détriment de la majorité silencieuse qui ne bénéficie de presque plus rien… Et qui fait face à des conditions de travail de plus en plus dégradées. Pour preuve, lisez le compte rendu sur le stress dans l’Etablissement public : le niveau ne cesse d’augmenter d’année en année.
Et puis, regardez vos augmentations annuelles au regard du travail fourni, regardez votre montant de PVO qui s’éloigne de plus en plus du 100 %, regardez vos difficultés à faire des mobilités et à accéder aux promotions…
C’est de plus en plus difficile d’obtenir une gratification dans cette maison… Alors que les résultats n’ont jamais été aussi bons (5,1 milliards d’euros).
A qui cela profite-t-il ?
Au directeur général, à ses amis… Et à ceux qui partent en RCIA.
Et pendant ce temps-là, la négociation sur l’accord cadre continue. Et devinez ce que l’on obtient : rien du tout, que dalle, nada…
La DRH ne cède rien, elle fait durer les réunions pour nous faire croire qu’elle est dans le dialogue. Mais le SNUP n’est pas dupe. C’est uniquement pour nous endormir et nous indiquer, à la fin, qu’elle a consacré tout le temps nécessaire à la rédaction d’un bon accord. Même les organisations syndicales majoritaires ne sont pas contentes de l’avancée de la négociation.