Un peu d’humour en cette période de fin d’année…
Publié le 9 décembre 2025
Le SNUP en a bien besoin, un peu comme vous…
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L’année 2025 a été difficile et vos organisations syndicales ont bien travaillé, enfin pas toutes… Regardez le bel accord cadre qui se profile à l’horizon, c’est tout sauf un beau cadeau de noël à déposer au pied du sapin.
Vous n’attendiez rien, cela tombe bien, car vous n’aurez rien. La faute à la Direction qui ne veut rien lâcher, mais surtout aux organisations syndicales (OS) majoritaires qui n’ont pas voulu négocier pour le bien des agents. De plus en plus ces OS ne pensent qu’à leurs petits privilèges et elles ne se soucient guère des attentes des personnels.
Le SNUP vous le dit depuis longtemps, il faut rééquilibrer les choses en donnant plus de poids aux OS combatives, c’est le seul moyen qui nous est offert pour contrer cette Direction « Sichelienne » à la sauce « Robineau » qui veut réduire tous vos avantages.
Et oui, dans ce projet d’accord cadre, vous n’aurez pas de garantie d’augmentation individuelle. Vous pourrez ainsi ne pas avoir d’augmentation sur une période de quatre ans… Et on vous alléche avec une garantie inflation mais celle-ci sera soumise à la validation de votre supérieur hiérarchique.
Pour les agents proches de la retraite, c’est rien en 2026 et une retraite progressive à deux balles en 2027… alors que ceux qui partent en RCIA touchent un gros chèque.
Et pour couronner le tout, avec de telles avancées, vos OS majoritaires ont demandé d’augmenter la durée de cet accord qui passe à quatre ans.
Vous ne rêvez pas, avec un accord moins disant, vos OS majoritaires ont obtenu que cet accord s’applique une année de plus… Ce sont de bons négociateurs ?
Et pendant ce temps-là, notre « Sichel man » se la joue dans la presse.
Dans un article du Point en date du 20 novembre 2025, il dit, en réponse à un regret qu’il aurait : « A un collaborateur qui se plaignait de la complexité des enjeux d’intérêt général, je lu ai dit qu’il n’avait qu’à rejoindre le privé ! ».
C’est sûr, on a affaire à un Directeur général très attaché au privé car il n’a pas hésité à quitter son statut de fonctionnaire en 2024 pour devenir contractuel de droit privé… Comme quoi il n’est pas très attaché à l’intérêt général.
Surprenant, comment peut-on défendre le statut de l’Etablissement public à caractère spécial avec un tel exemple ?
Vous noterez également que dans cet article, notre DG se plait à utiliser le mot collaborateur alors qu’au SNUP on préfère le terme agent, personnel, etc… Pour quelqu’un qui dit avoir sur son bureau un livre sur les compagnons de la Libération, cela interroge. C’est un mot que l’on souhaite voir disparaitre quand on parle des agents de l’Etablissement public, comme d’autres organisations syndicales, et à chaque fois la DRH nous dit : « on va corriger ». Et dire que notre Directeur Général est énervé quand un collaborateur (tiens , encore un) commence par « c’est compliqué »… Oui, c’est compliqué pour lui d’enlever de son vocabulaire le mot collaborateur.
Bref, nous avons affaire à un Directeur général très à l’écoute de sa personne mais peu à l’écoute de ses personnels, qu’on se le dise !
Le SNUP en a bien besoin, un peu comme vous…


L’année 2025 a été difficile et vos organisations syndicales ont bien travaillé, enfin pas toutes… Regardez le bel accord cadre qui se profile à l’horizon, c’est tout sauf un beau cadeau de noël à déposer au pied du sapin.
Vous n’attendiez rien, cela tombe bien, car vous n’aurez rien. La faute à la Direction qui ne veut rien lâcher, mais surtout aux organisations syndicales (OS) majoritaires qui n’ont pas voulu négocier pour le bien des agents. De plus en plus ces OS ne pensent qu’à leurs petits privilèges et elles ne se soucient guère des attentes des personnels.
Le SNUP vous le dit depuis longtemps, il faut rééquilibrer les choses en donnant plus de poids aux OS combatives, c’est le seul moyen qui nous est offert pour contrer cette Direction « Sichelienne » à la sauce « Robineau » qui veut réduire tous vos avantages.
Et oui, dans ce projet d’accord cadre, vous n’aurez pas de garantie d’augmentation individuelle. Vous pourrez ainsi ne pas avoir d’augmentation sur une période de quatre ans… Et on vous alléche avec une garantie inflation mais celle-ci sera soumise à la validation de votre supérieur hiérarchique.
Pour les agents proches de la retraite, c’est rien en 2026 et une retraite progressive à deux balles en 2027… alors que ceux qui partent en RCIA touchent un gros chèque.
Et pour couronner le tout, avec de telles avancées, vos OS majoritaires ont demandé d’augmenter la durée de cet accord qui passe à quatre ans.
Vous ne rêvez pas, avec un accord moins disant, vos OS majoritaires ont obtenu que cet accord s’applique une année de plus… Ce sont de bons négociateurs ?
Et pendant ce temps-là, notre « Sichel man » se la joue dans la presse.
Dans un article du Point en date du 20 novembre 2025, il dit, en réponse à un regret qu’il aurait : « A un collaborateur qui se plaignait de la complexité des enjeux d’intérêt général, je lu ai dit qu’il n’avait qu’à rejoindre le privé ! ».
C’est sûr, on a affaire à un Directeur général très attaché au privé car il n’a pas hésité à quitter son statut de fonctionnaire en 2024 pour devenir contractuel de droit privé… Comme quoi il n’est pas très attaché à l’intérêt général.
Surprenant, comment peut-on défendre le statut de l’Etablissement public à caractère spécial avec un tel exemple ?
Vous noterez également que dans cet article, notre DG se plait à utiliser le mot collaborateur alors qu’au SNUP on préfère le terme agent, personnel, etc… Pour quelqu’un qui dit avoir sur son bureau un livre sur les compagnons de la Libération, cela interroge. C’est un mot que l’on souhaite voir disparaitre quand on parle des agents de l’Etablissement public, comme d’autres organisations syndicales, et à chaque fois la DRH nous dit : « on va corriger ». Et dire que notre Directeur Général est énervé quand un collaborateur (tiens , encore un) commence par « c’est compliqué »… Oui, c’est compliqué pour lui d’enlever de son vocabulaire le mot collaborateur.
Bref, nous avons affaire à un Directeur général très à l’écoute de sa personne mais peu à l’écoute de ses personnels, qu’on se le dise !
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Publié le 9 décembre 2025
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L’année 2025 a été difficile et vos organisations syndicales ont bien travaillé, enfin pas toutes… Regardez le bel accord cadre qui se profile à l’horizon, c’est tout sauf un beau cadeau de noël à déposer au pied du sapin.
Vous n’attendiez rien, cela tombe bien, car vous n’aurez rien. La faute à la Direction qui ne veut rien lâcher, mais surtout aux organisations syndicales (OS) majoritaires qui n’ont pas voulu négocier pour le bien des agents. De plus en plus ces OS ne pensent qu’à leurs petits privilèges et elles ne se soucient guère des attentes des personnels.
Le SNUP vous le dit depuis longtemps, il faut rééquilibrer les choses en donnant plus de poids aux OS combatives, c’est le seul moyen qui nous est offert pour contrer cette Direction « Sichelienne » à la sauce « Robineau » qui veut réduire tous vos avantages.
Et oui, dans ce projet d’accord cadre, vous n’aurez pas de garantie d’augmentation individuelle. Vous pourrez ainsi ne pas avoir d’augmentation sur une période de quatre ans… Et on vous alléche avec une garantie inflation mais celle-ci sera soumise à la validation de votre supérieur hiérarchique.
Pour les agents proches de la retraite, c’est rien en 2026 et une retraite progressive à deux balles en 2027… alors que ceux qui partent en RCIA touchent un gros chèque.
Et pour couronner le tout, avec de telles avancées, vos OS majoritaires ont demandé d’augmenter la durée de cet accord qui passe à quatre ans.
Vous ne rêvez pas, avec un accord moins disant, vos OS majoritaires ont obtenu que cet accord s’applique une année de plus… Ce sont de bons négociateurs ?
Et pendant ce temps-là, notre « Sichel man » se la joue dans la presse.
Dans un article du Point en date du 20 novembre 2025, il dit, en réponse à un regret qu’il aurait : « A un collaborateur qui se plaignait de la complexité des enjeux d’intérêt général, je lu ai dit qu’il n’avait qu’à rejoindre le privé ! ».
C’est sûr, on a affaire à un Directeur général très attaché au privé car il n’a pas hésité à quitter son statut de fonctionnaire en 2024 pour devenir contractuel de droit privé… Comme quoi il n’est pas très attaché à l’intérêt général.
Surprenant, comment peut-on défendre le statut de l’Etablissement public à caractère spécial avec un tel exemple ?
Vous noterez également que dans cet article, notre DG se plait à utiliser le mot collaborateur alors qu’au SNUP on préfère le terme agent, personnel, etc… Pour quelqu’un qui dit avoir sur son bureau un livre sur les compagnons de la Libération, cela interroge. C’est un mot que l’on souhaite voir disparaitre quand on parle des agents de l’Etablissement public, comme d’autres organisations syndicales, et à chaque fois la DRH nous dit : « on va corriger ». Et dire que notre Directeur Général est énervé quand un collaborateur (tiens , encore un) commence par « c’est compliqué »… Oui, c’est compliqué pour lui d’enlever de son vocabulaire le mot collaborateur.
Bref, nous avons affaire à un Directeur général très à l’écoute de sa personne mais peu à l’écoute de ses personnels, qu’on se le dise !
Le SNUP en a bien besoin, un peu comme vous…


L’année 2025 a été difficile et vos organisations syndicales ont bien travaillé, enfin pas toutes… Regardez le bel accord cadre qui se profile à l’horizon, c’est tout sauf un beau cadeau de noël à déposer au pied du sapin.
Vous n’attendiez rien, cela tombe bien, car vous n’aurez rien. La faute à la Direction qui ne veut rien lâcher, mais surtout aux organisations syndicales (OS) majoritaires qui n’ont pas voulu négocier pour le bien des agents. De plus en plus ces OS ne pensent qu’à leurs petits privilèges et elles ne se soucient guère des attentes des personnels.
Le SNUP vous le dit depuis longtemps, il faut rééquilibrer les choses en donnant plus de poids aux OS combatives, c’est le seul moyen qui nous est offert pour contrer cette Direction « Sichelienne » à la sauce « Robineau » qui veut réduire tous vos avantages.
Et oui, dans ce projet d’accord cadre, vous n’aurez pas de garantie d’augmentation individuelle. Vous pourrez ainsi ne pas avoir d’augmentation sur une période de quatre ans… Et on vous alléche avec une garantie inflation mais celle-ci sera soumise à la validation de votre supérieur hiérarchique.
Pour les agents proches de la retraite, c’est rien en 2026 et une retraite progressive à deux balles en 2027… alors que ceux qui partent en RCIA touchent un gros chèque.
Et pour couronner le tout, avec de telles avancées, vos OS majoritaires ont demandé d’augmenter la durée de cet accord qui passe à quatre ans.
Vous ne rêvez pas, avec un accord moins disant, vos OS majoritaires ont obtenu que cet accord s’applique une année de plus… Ce sont de bons négociateurs ?
Et pendant ce temps-là, notre « Sichel man » se la joue dans la presse.
Dans un article du Point en date du 20 novembre 2025, il dit, en réponse à un regret qu’il aurait : « A un collaborateur qui se plaignait de la complexité des enjeux d’intérêt général, je lu ai dit qu’il n’avait qu’à rejoindre le privé ! ».
C’est sûr, on a affaire à un Directeur général très attaché au privé car il n’a pas hésité à quitter son statut de fonctionnaire en 2024 pour devenir contractuel de droit privé… Comme quoi il n’est pas très attaché à l’intérêt général.
Surprenant, comment peut-on défendre le statut de l’Etablissement public à caractère spécial avec un tel exemple ?
Vous noterez également que dans cet article, notre DG se plait à utiliser le mot collaborateur alors qu’au SNUP on préfère le terme agent, personnel, etc… Pour quelqu’un qui dit avoir sur son bureau un livre sur les compagnons de la Libération, cela interroge. C’est un mot que l’on souhaite voir disparaitre quand on parle des agents de l’Etablissement public, comme d’autres organisations syndicales, et à chaque fois la DRH nous dit : « on va corriger ». Et dire que notre Directeur Général est énervé quand un collaborateur (tiens , encore un) commence par « c’est compliqué »… Oui, c’est compliqué pour lui d’enlever de son vocabulaire le mot collaborateur.
Bref, nous avons affaire à un Directeur général très à l’écoute de sa personne mais peu à l’écoute de ses personnels, qu’on se le dise !